CONSELHO CONSULTIVO - 31.JAN
ETV - Diário Económico
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sexta-feira, 31 de janeiro de 2014
sexta-feira, 24 de janeiro de 2014
CONSELHO CONSULTIVO - 24.JAN
ETV - Diário Económico
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quarta-feira, 22 de janeiro de 2014
VARIAÇÕES HOMÓLOGAS | ||||||
HOMOLOGOUS CHANGE | ||||||
Empréstimos de Outras Instituições Financeiras Monetárias a Particulares | ||||||
Loans of Other Monetary Financial Institutions to Private Individuals | ||||||
Milhões de Euros | ||||||
Millions of Euros | ||||||
Crédito | Concedido | Cobrança Duvidosa | ||||
Banking Credit | Installment Credit | Uncertain Collection | ||||
Habitação | NOV.12 | 110.048 | 2.260 | |||
Mortgage | NOV.13 | 106.160 | -3,53% | 2.417 | 6,95% | |
Consumo | NOV.12 | 13.412 | 1.562 | |||
Consumption | NOV.13 | 12.104 | -9,75% | 1.436 | -8,07% | |
Outros Fins | NOV.12 | 10.948 | 1.261 | |||
Another Finality | NOV.13 | 10.277 | -6,13% | 1.339 | 6,19% | |
Total | NOV.12 | 134.407 | 5.084 | |||
Total | NOV.13 | 128.541 | -4,36% | 5.192 | 2,12% | |
Fonte: Boletim Estatístico do Banco de Portugal | ||||||
Source: Portugal Central Bank |
VARIAÇÕES HOMÓLOGAS | ||||||
HOMOLOGOUS CHANGE | ||||||
Empréstimos de Outras Instituições Financeiras Monetárias a Empresas Não Financeiras | ||||||
Loans of Other Monetary Financial Institutions to Non-Financial Corporations | ||||||
Milhões de Euros | ||||||
Millions of Euros | ||||||
Crédito Concedido | Cobrança Duvidosa | |||||
Installment Credit | Uncertain Collection | |||||
NOV.12 | 105.672 | 10.837 | ||||
NOV.13 | 100.027 | -5,34% | 12.271 | 13,23% | ||
Fonte: Boletim Estatístico do Banco de Portugal | ||||||
Source: Portugal Central Bank |
terça-feira, 21 de janeiro de 2014
ESPAÑA - Familias y empresas deben 2,2 billones de euros, el doble del PIB
Empresas y familias disparan su deuda y se sitúa en los 2,2 billones de euros. Además, ha subido por primera vez en seis meses.
La deuda de familias y empresas españolas duplica al Producto Interior Bruto del país, según los datos facilitados este miércoles por el Banco de España. Las deudas hipotecarias familiares españolas se han situado en enero en 678.016 millones de euros, frente a los 677.907 millones de diciembre, es decir, la primera subida mensual desde julio de 2009.
En conjunto, la deuda de los sectores residentes en España -excluidas las administraciones públicas-, es decir, familias y empresas, se mantenía en enero en niveles muy similares a los de diciembre y rozaba los 2,2 billones de euros, algo más del doble del Producto Interior Bruto (PIB).
Por lo que respecta a las empresas, su deuda se elevaba en enero a 1,3 billones de euros (1.297.032 millones), un 1,9 por ciento menos que un año antes.
Pese a esta subida, la primera en seis meses, la deuda de los hogares españoles para la adquisición de vivienda es inferior a la que mantenían hace un año, en enero de 2009, cuando la cifra se elevaba a 678.335 millones de euros.
En conjunto, las deudas contraídas por las familias y las empresas españolas se redujeron el 0,1 y el 1,9 por ciento, respectivamente, en enero frente a un año antes, con lo que el endeudamiento desciende por cuarto mes consecutivo en tasa interanual.
Así, la deuda que las familias españolas mantenían con las entidades financieras españolas en enero pasado se situó en 901.730 millones de euros, de los que 678.016 millones de euros correspondieron a créditos para la adquisición de vivienda.
Empresas y familias disparan su deuda y se sitúa en los 2,2 billones de euros. Además, ha subido por primera vez en seis meses.
La deuda de familias y empresas españolas duplica al Producto Interior Bruto del país, según los datos facilitados este miércoles por el Banco de España. Las deudas hipotecarias familiares españolas se han situado en enero en 678.016 millones de euros, frente a los 677.907 millones de diciembre, es decir, la primera subida mensual desde julio de 2009.
En conjunto, la deuda de los sectores residentes en España -excluidas las administraciones públicas-, es decir, familias y empresas, se mantenía en enero en niveles muy similares a los de diciembre y rozaba los 2,2 billones de euros, algo más del doble del Producto Interior Bruto (PIB).
Por lo que respecta a las empresas, su deuda se elevaba en enero a 1,3 billones de euros (1.297.032 millones), un 1,9 por ciento menos que un año antes.
La primera subida en seis meses
Pese a esta subida, la primera en seis meses, la deuda de los hogares españoles para la adquisición de vivienda es inferior a la que mantenían hace un año, en enero de 2009, cuando la cifra se elevaba a 678.335 millones de euros.
En conjunto, las deudas contraídas por las familias y las empresas españolas se redujeron el 0,1 y el 1,9 por ciento, respectivamente, en enero frente a un año antes, con lo que el endeudamiento desciende por cuarto mes consecutivo en tasa interanual.
Así, la deuda que las familias españolas mantenían con las entidades financieras españolas en enero pasado se situó en 901.730 millones de euros, de los que 678.016 millones de euros correspondieron a créditos para la adquisición de vivienda.
Salaire, logement... le portrait social de la France.
L'institut national de la statistique a tout passé en revue (logement, éducation, salaires, endettement...) et ses conclusions ne donnent pas beaucoup de raisons d'espérer...
1. Les Français sont de plus en plus endettés
Avec la hausse conjuguée des prix de l'immobilier et la faible progression des revenus du travail, les ménages s'endettent de plus en plus et pour des durées croissantes. Ainsi, entre 2005 et 2011, l'endettement immobilier des ménages a presque doublé, passant de 442 à 800 milliards d'euros. Pour un ménage, le montant moyen restant à rembourser a évolué de 45.600 euros en 2005 à 70.200 euros en 2011.
Et faute de pouvoir augmenter le montant des mensualités, les durées d'emprunts s'allongent. Les jeunes sont particulièrement touchés par cet effet ciseau. Alors qu'un ménage de moins de 30 ans devait s'endetter en 2005 pour 20 ans en moyenne, il doit compter 25 années aujourd'hui.
2. Leur logement leur coûte de plus en plus cher
Le logement reste plus que jamais un poste de dépenses important pour les ménages, notamment lorsqu'ils sont locataires ou primo-accédants. Ainsi, s'ils ne résident pas dans un logement social, les locataires consacrent en moyenne 7.500 euros par an à leur logement (625 euros par mois, net des aides au logement). Quant à ceux qui ont emprunté pour devenir propriétaire, c'est encore pire : ils sacrifient 13.700 euros par an pour accéder à leur rêve.
Ces montants sont bien supérieurs à ceux des locataires (5.400 euros dépensés par an, soit 450 euros par mois) et les propriétaires ayant remboursé leur emprunt ou hérité de leurs parents (4.600 euros par an).
Pour les locataires du privé et les propriétaires accédants, le logement représente plus d'un quart de leurs revenus courant avant impôts en moyenne, contre 23% pour les locataires de logements sociaux et 11% pour les propriétaires. C'estime même que 1 ménage locataire sur 5 dépense plus de 40% de son revenu pour se loger. La norme convenue par les professionnels de l'immobilier étant de 30%.
Et pourtant rien n'y fait. Même en dépensant plus, les locataires du privé vivent dans des logements plus petits que ceux qui vivent en : 65m² contre 68 m², en moyenne.
3. Les salariés du privé gagnent moins que les fonctionnaires
Toujours en moyenne, les salariés du privé perçoivent des salaires inférieurs à ceux du public. Le revenu salarial moyen dans le privé atteignait en 2011, 19.530 euros par an contre 21.970 euros dans le public, soit une différence de 11%. Les auteurs de l'étude expliquent cette différence par une durée d'emploi plus élevée dans la fonction publique que dans le secteur privé.
Mais les écarts tendant à s'estomper puisqu'entre 1995 et 2011 les salaires dans le privé ont augmenté de 0,8% en euros constants par an contre 0,3% dans le public. En 2011, les salaires ont stagné dans le privé mais ont baissé de 0,7% dans la fonction publique.
Permet aussi de constater des disparités très importantes de salaires selon les catégories socioprofessionnelles. Ainsi les cadres gagnent près de 40.000 euros par an en moyenne, contre 13.610 euros pour les employés et 15.060 pour les ouvriers. 25% des salariés ont perçu un salaire inférieur à 9.792 euros au cours de l'année 2011. Les 25% des salariés les plus payés gagnent 10 fois plus que les 25% les moins payés, soit environ 40.000 euros contre 4.000 euros.
4. Les femmes sont toujours moins bien payées que les hommes
Si l'on regarde selon le sexe, les disparités hommes-femmes sont encore très importantes. En effet, le sexe dit faible gagne 24% de moins que le sexe dit fort, à 17.210 euros contre 22.640 euros. Cet écart de plus de 5.000 euros s'expliquerait pas plusieurs facteurs: un recours plus fréquent au temps partiel et une moindre présence parmi les cadres et chefs d'entreprises. Ainsi, malgré une prise de conscience, la discrimination sexuelle perdure. Les hommes restent surreprésentés dans les secteurs les plus rémunérateurs.
5. Les jeunes français sans diplôme restent encore nombreux
La lutte contre le chômage passe par les diplômes. Or, un quart des 800.000 jeunes entrés au collège en 1995 ont quitté prématurément l'enseignement supérieur, et parmi ces 200.000 "décrocheurs", 53% n'ont aucun diplôme aujourd'hui. Le reste se partageant entre un BEP ou un CAP (20%) et le Brevet des collèges (26%). Résultat: en 2012, parmi les jeunes sans diplôme sortis de formation initiale depuis un à quatre ans et présents sur le marché du travail, 47% sont au chômage.
Les décrocheurs sont plus souvent des personnes issues de familles défavorisées (parents ouvriers ou/et non diplômés). Parmi les enfants qui ont arrêté le collège ou le lycée prématurément, 85% ont été élevés par une mère qui n'a pas son Baccalauréat. Le décrochage survient également lors de situations familiales compliquées comme des divorces, décès et problèmes de santé.
Par ailleurs, on estime à 500.000 élèves sur 800.000 entrés en 6ème en 1995 les diplômés du Baccalauréat. Mais pour eux, le chemin à parcourir dans l'enseignement supérieur n'est pas une sinécure. Si 87% des bacheliers se sont lancés dans des études à l'université, 20% d'entre eux en sortiront sans aucun diplôme.
L'institut national de la statistique a tout passé en revue (logement, éducation, salaires, endettement...) et ses conclusions ne donnent pas beaucoup de raisons d'espérer...
1. Les Français sont de plus en plus endettés
Avec la hausse conjuguée des prix de l'immobilier et la faible progression des revenus du travail, les ménages s'endettent de plus en plus et pour des durées croissantes. Ainsi, entre 2005 et 2011, l'endettement immobilier des ménages a presque doublé, passant de 442 à 800 milliards d'euros. Pour un ménage, le montant moyen restant à rembourser a évolué de 45.600 euros en 2005 à 70.200 euros en 2011.
Et faute de pouvoir augmenter le montant des mensualités, les durées d'emprunts s'allongent. Les jeunes sont particulièrement touchés par cet effet ciseau. Alors qu'un ménage de moins de 30 ans devait s'endetter en 2005 pour 20 ans en moyenne, il doit compter 25 années aujourd'hui.
2. Leur logement leur coûte de plus en plus cher
Le logement reste plus que jamais un poste de dépenses important pour les ménages, notamment lorsqu'ils sont locataires ou primo-accédants. Ainsi, s'ils ne résident pas dans un logement social, les locataires consacrent en moyenne 7.500 euros par an à leur logement (625 euros par mois, net des aides au logement). Quant à ceux qui ont emprunté pour devenir propriétaire, c'est encore pire : ils sacrifient 13.700 euros par an pour accéder à leur rêve.
Ces montants sont bien supérieurs à ceux des locataires (5.400 euros dépensés par an, soit 450 euros par mois) et les propriétaires ayant remboursé leur emprunt ou hérité de leurs parents (4.600 euros par an).
Pour les locataires du privé et les propriétaires accédants, le logement représente plus d'un quart de leurs revenus courant avant impôts en moyenne, contre 23% pour les locataires de logements sociaux et 11% pour les propriétaires. C'estime même que 1 ménage locataire sur 5 dépense plus de 40% de son revenu pour se loger. La norme convenue par les professionnels de l'immobilier étant de 30%.
Et pourtant rien n'y fait. Même en dépensant plus, les locataires du privé vivent dans des logements plus petits que ceux qui vivent en : 65m² contre 68 m², en moyenne.
3. Les salariés du privé gagnent moins que les fonctionnaires
Toujours en moyenne, les salariés du privé perçoivent des salaires inférieurs à ceux du public. Le revenu salarial moyen dans le privé atteignait en 2011, 19.530 euros par an contre 21.970 euros dans le public, soit une différence de 11%. Les auteurs de l'étude expliquent cette différence par une durée d'emploi plus élevée dans la fonction publique que dans le secteur privé.
Mais les écarts tendant à s'estomper puisqu'entre 1995 et 2011 les salaires dans le privé ont augmenté de 0,8% en euros constants par an contre 0,3% dans le public. En 2011, les salaires ont stagné dans le privé mais ont baissé de 0,7% dans la fonction publique.
Permet aussi de constater des disparités très importantes de salaires selon les catégories socioprofessionnelles. Ainsi les cadres gagnent près de 40.000 euros par an en moyenne, contre 13.610 euros pour les employés et 15.060 pour les ouvriers. 25% des salariés ont perçu un salaire inférieur à 9.792 euros au cours de l'année 2011. Les 25% des salariés les plus payés gagnent 10 fois plus que les 25% les moins payés, soit environ 40.000 euros contre 4.000 euros.
4. Les femmes sont toujours moins bien payées que les hommes
Si l'on regarde selon le sexe, les disparités hommes-femmes sont encore très importantes. En effet, le sexe dit faible gagne 24% de moins que le sexe dit fort, à 17.210 euros contre 22.640 euros. Cet écart de plus de 5.000 euros s'expliquerait pas plusieurs facteurs: un recours plus fréquent au temps partiel et une moindre présence parmi les cadres et chefs d'entreprises. Ainsi, malgré une prise de conscience, la discrimination sexuelle perdure. Les hommes restent surreprésentés dans les secteurs les plus rémunérateurs.
5. Les jeunes français sans diplôme restent encore nombreux
La lutte contre le chômage passe par les diplômes. Or, un quart des 800.000 jeunes entrés au collège en 1995 ont quitté prématurément l'enseignement supérieur, et parmi ces 200.000 "décrocheurs", 53% n'ont aucun diplôme aujourd'hui. Le reste se partageant entre un BEP ou un CAP (20%) et le Brevet des collèges (26%). Résultat: en 2012, parmi les jeunes sans diplôme sortis de formation initiale depuis un à quatre ans et présents sur le marché du travail, 47% sont au chômage.
Les décrocheurs sont plus souvent des personnes issues de familles défavorisées (parents ouvriers ou/et non diplômés). Parmi les enfants qui ont arrêté le collège ou le lycée prématurément, 85% ont été élevés par une mère qui n'a pas son Baccalauréat. Le décrochage survient également lors de situations familiales compliquées comme des divorces, décès et problèmes de santé.
Par ailleurs, on estime à 500.000 élèves sur 800.000 entrés en 6ème en 1995 les diplômés du Baccalauréat. Mais pour eux, le chemin à parcourir dans l'enseignement supérieur n'est pas une sinécure. Si 87% des bacheliers se sont lancés dans des études à l'université, 20% d'entre eux en sortiront sans aucun diplôme.
sexta-feira, 10 de janeiro de 2014
CONSELHO CONSULTIVO - 10.JAN
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sexta-feira, 3 de janeiro de 2014
CONSELHO CONSULTIVO - 3.JAN
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CONSELHO CONSULTIVO - 27.DEZ
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