segunda-feira, 30 de abril de 2012


L’économie belge a besoin des prêts

Une étude, menée par la KU Leuven en collaboration avec l'Union professionnelle du crédit (UPC), révèle que les crédits aux particuliers ont des conséquences non négligeables sur l'économie belge. Qu’ils soient hypothécaires (0,34%) ou à la consommation (0,12%), ils ont ensemble représenté 0,46% des 2,46% de croissance du PIB l’an dernier! Explications:

En 2010, la croissance du PIB (+2,46%) aurait perdu près d'un demi-pourcent si l'octroi de crédits n'avait pas augmenté. La consommation, dont près de 11% sont financés par le crédit, représente une part très importante du PIB (plus de 52%, ndlr) et par conséquent, son évolution est étroitement liée à celle du PIB.

Environ deux fois plus de crédits contractés qu’il y a 16 ans

Il ressort par ailleurs de l'étude que le crédit à la consommation, en ce compris les ouvertures de crédits, a bondi de 90% entre 1994 et 2010, passant de 4,992 à 9,483 milliards d'euros, ce qui constitue une hausse annuelle moyenne de 4,09%.
Les prêts hypothécaires ont eux aussi suivi la même tendance, le nombre de nouveaux prêts hypothécaires produits ayant augmenté, entre 1994 et 2010, de 6,71% par an, pour des montants qui sont passés, sur la même période, de 5,683 à 26,768 milliards d'euros.

Environ trois fois plus de dettes concernant les crédits hypothécaires

Quant à l'encours de la dette pour les crédits à la consommation, il atteignait, fin 2010, 1.858 euros par habitant, en hausse de 109,7% par rapport à 1994.
Fin 2010, l'encours de la dette hypothécaire par habitant s'élevait à 14.963 euros, ce qui représente une augmentation de 200,4% par rapport à 1998 (78% fin 2010).

Augmenter les crédits est aussi important qu’augmenter le revenu

Une augmentation de l'octroi de crédit est aussi importante qu'une croissance du revenu disponible des ménages pour expliquer la croissance de la consommation. Une hausse de 1% du revenu disponible par semestre entraîne en effet une augmentation de la consommation de 0,2627% durant ce même semestre tandis qu'une progression de 1% par semestre du volume du crédit s'accompagne d'une augmentation de la consommation de 0,2533%. Des chiffres comparables, donc.
Dans ce contexte, l'Union professionnelle du Crédit estime que le crédit aux particuliers est un contributeur puissant au développement durable de la Belgique et qu'il convient de le stimuler, non seulement à travers un cadre législatif souple et équilibré, mais également par le biais d'incitants fiscaux attractifs, tels que le Crédit vert subsidié ces 3 dernières années par le fédéral.



Dans la moyenne européenne de l’endettement

Si l'on compare le taux d'endettement des ménages belges à celui des ménages des autres pays européens, nous nous trouvons au milieu du peloton. Il reste donc un potentiel raisonnable et un long chemin à parcourir pour renforcer la croissance et développer la consommation des ménages en Belgique.  

sábado, 28 de abril de 2012

CRÉDITO CONCEDIDO/CRÉDITO DE COBRANÇA DUVIDOSA - Particulares
Variação Mensal


Empréstimos de Outras Instituições Financeiras Monetárias a Particulares
Loans of Other Monetary Financial Institutions to Private Individuals
Crédito Concedido            Cobrança Duvidosa
Banking Credit            Installment Credit          Uncertain Collection
Habitação JAN.12 112694 2145
Mortgage FEV.12 113112 0,37% 2169 1,12%
Consumo JAN.12 14725 1513
Consumption FEV.12 14622 -0,70% 1549 2,38%
Outros Fins JAN.12 11521 1122
Another Finality FEV.12 11502 -0,16% 1155 2,94%
Total JAN.12 138941 4782
Total FEV.12 139236 0,21% 4872 1,88%
Fonte: Boletim Estatístico do Banco de Portugal
Source: Portugal Central Bank
CRÉDITO CONCEDIDO/CRÉDITO DE COBRANÇA DUVIDOSA - Particulares
Variação Homóloga


Empréstimos de Outras Instituições Financeiras Monetárias a Particulares
Loans of Other Monetary Financial Institutions to Private Individuals
Crédito Concedido            Cobrança Duvidosa
Banking Credit            Installment Credit          Uncertain Collection
Habitação FEV.11 114468 2000
Mortgage FEV.12 113112 -1,18% 2169 8,45%
Consumo FEV.11 15381 1309
Consumption FEV.12 14622 -4,93% 1549 18,33%
Outros Fins FEV.11 12020 887
Another Finality FEV.12 11502 -4,31% 1155 30,21%
Total FEV.11 141870 4196
Total FEV.12 139236 -1,86% 4872 16,11%
Fonte: Boletim Estatístico do Banco de Portugal
Source: Portugal Central Bank

sexta-feira, 27 de abril de 2012



Au fil du temps, la famille s’agrandit. L’arrivée des enfants implique l’augmentation des dépenses journalières de la famille, sans oublier tous les projets qui s’ensuivent. Même si habituellement les revenus mensuels arrivent à subvenir à tous ces besoins, il suffit d’un imprévu important pour que la gestion financière de toute la famille soit compromise. Ce qui incite beaucoup de personnes à avoir recours à des crédits. D’une manière générale, que ce soit pour acquérir un logement, pour les biens d’équipement ou pour la consommation, un ménage sur deux est contraint de faire des emprunts. Néanmoins, le volume important de crédits conduit, dans un certain nombre cas, au mal endettement. S’ensuit le surendettement des familles.

Les difficultés sociales : facteurs de risque de surendettement des familles

Dans une famille, par exemple, depuis de nombreuses années, les mensualités ont été payées normalement. D’un seul coup, un problème d’ordre social survient et elle devient victime du mal endettement. Le surendettement des familles survient, dans la plupart des cas, suite à des difficultés telles que la maladie, la retraite, le chômage, le divorce ou le décès d’un proche, ce qui perturbe totalement la gestion financière globale. Aussi, de plus en plus de ménages français sont victimes du surendettement passif. En tête de liste figurent, entre autres, les personnes physiques de nationalité française domiciliées en France et les étrangers ayant contracté des dettes professionnelles auprès des créanciers établis en France. Le surendettement des familles est établi quand le taux d’endettement dépasse grosso modo les 35 % du revenu mensuel disponible, le seuil maximum acceptable sauf pour les hauts revenus. Le surendettement des familles est alors un problème complexe qu’il faut appréhender avec souplesse, au point que dans le cadre d’un rétablissement financier de l’endetté, la « Loi de la seconde chance » a été mise en place.

Comment surmonter le surendettement des familles ?

Le surendettement est un fléau qui empêche une saine gestion des finances et l’épanouissement de la famille. Pour s’en sortir, un plan de redressement pertinent doit être dressé au plus vite. Pour remédier le plus rapidement possible au surendettement de familles, il faut trouver les solutions adaptées, telles que : le rééchelonnement des paiements, la remise partielle des dettes ou la réduction des intérêts. En outre, la situation actuelle des personnes mal endettées n’est pas toujours aussi critique, car le rachat de crédit à la consommation peut réduire considérablement les sorties. Comme solution personnelle contre le surendettement des familles, il est aussi possible de vendre des biens. Après tout, une fois rétablie, sa trésorerie ou son épargne procurera assez d’argent à la famille pour remplacer tout ou partie des biens vendus. Pour ceux qui envisagent de fonder une famille, il est essentiel de pallier aux différents problèmes familiaux qui pourraient se produire en raison de l’endettement personnel de chacun. Pour cela, la solution reste le rachat de crédit mariage et pacs pour corriger les dettes avant l’engagement et pour organiser au mieux la vie commune. D’autres solutions sont aussi possibles dans le cadre d’un surendettement des familles notamment le rachat de crédits hypothécaire ou le plan de surendettement. Ce dernier résulte de ce qu’on appelle le « traitement social du surendettement ». Avant d’accorder un plan de désendettement, une commission de surendettement dresse un état financier relatif à la situation de la famille pour évaluer son taux d’endettement et ses capacités de remboursement. La commission étudie également les circonstances qui ont conduit le ménage au surendettement et, en particulier, s’il est de bonne foi ou pas. Il s’agit de trouver le meilleur moyen de réorganiser les finances de ce dernier et lui permettre de faire face à ses dettes autant que faire se peut. Désormais, les propriétaires et accédants ont également accès à cette procédure même s’ils sont moins nombreux à déposer un dossier aux guichets de la Banque de France. En effet, ils peuvent bénéficier d’une formule de restructuration financière privée particulièrement souple et avantageuse : le rachat de crédit hypothécaire. Ce rachat de crédit offre même la possibilité d’obtenir une trésorerie supplémentaire pour aider la famille à ne plus retomber dans le gouffre du surendettement lorsqu’elle aura, dans un avenir plus ou moins proche à faire face à de grosses dépenses, notamment de réparations immobilières ou de remplacement de gros équipements. Si ces solutions ne conviennent pas à la situation, il est toujours possible d’envisager la procédure de rétablissement personnel.



 

quinta-feira, 5 de abril de 2012

TEIMOSIA OBSTINADA

Opinião do autor
Diário Económico - 5/ABR


http://economico.sapo.pt/noticias/teimosia-obstinada_141901.html



IMF Completes Third Review Under an EFF Arrangement with Portugal, Approves €5.17 Billion Disbursement

The Executive Board of the International Monetary Fund (IMF) today completed the third review of Portugal’s performance under an economic program supported by a 3-year, SDR 23.742 billion (about €27.63 billion) Extended Fund Facility (EFF) arrangement. The completion of the review enables the immediate disbursement of an amount equivalent to SDR 4.443 billion (about about €5.17 billion), bringing total disbursements under the EFF arrangement to SDR 15.946 billion (about €18.56 billion).
The Executive Board also approved a request for waivers of applicability for two end-March 2012 performance criteria. These waivers were necessary because the Executive Board meeting was scheduled to take place after end-March but before the data for consolidated government cash balance and for the stock of government debt become available.
The EFF arrangement, which was approved on May 20, 2011 is part of a cooperative package of financing with the European Union amounting to €78 billion over three years. It entails exceptional access to IMF resources, amounting to 2,306 percent of Portugal’s IMF quota.
Good progress has been made on implementing policies under the program and early signs indicate that the required economic adjustment is taking place. Given the difficult external and internal environment, strong program implementation remains essential to ensure program success, rebuild market confidence, and restore growth.
The fiscal consolidation strategy remains appropriate, with the deficit target for 2012 achievable under current policies and outlook. In the event that downside risks to growth materialize, a case could be made to allow automatic stabilizers to operate, but changes to fiscal targets to accommodate policy-induced slippages should be avoided at all costs.
Recent progress on advancing fiscal structural reforms—including developing new commitment control procedures, addressing arrears, restructuring public enterprises, and the establishment of the economic program with the Madeira region—should help support the ongoing consolidation efforts. It will be important to continue monitoring the effectiveness of these reforms to limit fiscal risks and ensure deficit targets are met. The establishment of the new Fiscal Council will also help promote fiscal responsibility.
The easing of bank liquidity conditions and prospective public recapitalization of some banks should help facilitate an orderly deleveraging process, but it will be important to ensure adequate provision of credit to viable enterprises. As the authorities consider initiatives in this regard, care must be taken so that private liabilities do not migrate to the public sector’s balance sheet.
Progress is being made on advancing the structural reform agenda in key areas such as the judicial system, and labor and housing markets. Reducing rents in the electricity sector and further improving the competition framework will also be important. With the decision to abandon the fiscal devaluation, the authorities should continue to seek ways to enhance the reform agenda, including through deeper labor and product market reforms, to strengthen competitiveness and improve growth prospects.